" L'artiste, de nouveau, se recommande vous, en vous apportant d'autres portraits encore, cisel s par lui dans le coquillage aux tendres nuances de chair et dans la pierre dure aux couleurs superbes. Le premier que vous verrez cette fois porte sans doute la trace des larmes de l'ouvrier, car c'est l'image d'un grand homme qu'il aimait fraternellement, et dont la vie ici-bas fut une lutte, une agonie et un martyre. mis re il est mort immobile et muet; la Douleur avait terni son regard de h ros; elle teignait d j son visage rayonnant de force et de joie, et il est tomb vaincu, faible, mais triomphant aussi, car d j se refl tait dans ses vives prunelles l'aurore des sph res myst rieuses, o maintenant, voyant et libre, il s'enivre des parfums aim s et per oit par des sens nouveaux la tranquille gloire de la Beaut et la silencieuse musique des astres ..."